« Au départ, il y a eu la question de demain. Vu d’aujourd’hui. Avec ce que nous portons. Chacune et chacun. Après les présentations, nous sommes allés crier dans la forêt. Nous avons observé les petits détails, les quasi-invisibles et en avons discuté. Nous avons regardé le film « Soleil Vert ». Nous avons échangé et partagé. Tout du long. Nous nous sommes dit ce qui nous chagrine. Nous avons écrit. Beaucoup. Sur des feuilles avec nos stylos. Sur les vitres recouvertes de blanc de Meudon. Sur des pancartes portées tout autour. Dans les champs, au cœur de la forêt, près des sources, à proximité des fermes.
Nous avons choisi un endroit de l’établissement propice à écrire encore plus.
Un lieu qui permettrait aussi d’accueillir le public et de réaliser une installation qui rendrait compte de nos actions et réflexions. Et qui permettait de projeter notre film. La lumière traversante comme alliée de notre poésie. Nous avons accueilli de nombreuses personnes et leur avons montré et dit ce que nous avons fait.
Blanc de Meudon sur vitre. Maison des Soeurs de la Retraite Chrétienne, Les Fontenelles »
Laurent Lacotte, avec une classe du lycée St-Joseph des Fontenelles
L’article Que nos voix résonnent est apparu en premier sur Bien Urbain.